Jusqu’à quand ?

Mille pardons aux penseurs raisonnables, intervenants mesurés, qui jamais ne haussent le ton, mais l’agacement me gagne devant le désastre de cette France que l’on détruit.

Cette oligarchie d’État et d’héritage et cette ploutocratie d’affaires et de corruption qui nous dominent, contrôlent nos moyens de communications, et choisissent nos Présidents de la République doivent regretter d’avoir poussé en avant leur créature, le gai Néron du Touquet.

L’incompétence de leurs sergents recruteurs, les Attali, Minc etc.. rejaillit sur eux. Le ridicule de la marionnette de l’Élysée les ridiculise à leur tour. À son lever chaque Français se demande : « Quelle va être la mascarade du jour ? »

Ce Guignol national se double d’un Guignol européen : « Que nous réserve cette semaine Pustula von der Leyen et sa clique? »

Le gauleiter de l’Europe, poussée à la tête de la Commission de Bruxelles par l’Allemagne, mitraille les pays membres de l’UE de réglementations absurdes, traque la liberté d’expression, appelle à la censure et n’a que ces mots à la bouche : interdire, punir, sanctionner, obliger…

Teutonique désinhibée elle entend contrôler les élections dans tous les pays d’Europe et y imposer ses candidats, elle veut la guerre et les moyens de la mener. Elle a été rejointe par une clique d’obsessionnels avec qui elle pourchasse le Haut Mal, le Diable réincarné, le bouc-émissaire éternel, la Russie, ce monstre qui ne veut pas être cerné à ses frontières par des missiles de l’OTAN.

Et que dire de notre sous-classe politique française? Revenu au régime des partis et des apparentements, les députés et les sénateurs alternent fausses colères et vraies compromissions pour éviter le plus longtemps possible d’être renvoyés devant leurs électeurs. Ils ne répondent que par des discours aux discours délirants de l’Élysée; le principal et de bénéficier le plus longtemps possible d’un gros salaire, de multiples avantages liés à la fonction, des enveloppes diverses censées rémunérer des collaborateurs ou leurs dépenses de « représentation ». Les Français ? Qu’ils attendent et payent.

Que dire d’un gouvernement composé de ministres inconnus, incompétents et interchangeables et d’un Président qui glisse sur le rail de poudre blanche de la ligne Charenton-Saint Anne, propulsé par diverses substances dont un carburant nommé « esbrouffe »?

Je ne vois pas dans l’Histoire de situations comparables qui ne se soient pas mal terminées.